La carte ci-contre représente, selon votre choix, la concentration journalière ou horaire modélisée pour le dioxyde d’azote.
Les oxydes d’azote représentent les formes oxydées de l’azote. Les principaux sont le dioxyde d’azote (NO2) et le monoxyde d’azote (NO).
Les oxydes d'azote peuvent irriter les bronches voire entraîner des infections pulmonaires chez certaines personnes sensibles.
Les concentrations sont exprimées en microgramme par mètre cube d’air (µg/m3).
Les oxydes d'azote peuvent irriter les bronches voire entraîner des infections pulmonaires chez certaines personnes sensibles.
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La carte ci-contre représente la concentration annuelle modélisée pour le dioxyde d’azote.
Les oxydes d’azote représentent les formes oxydées de l’azote. Les principaux sont le dioxyde d’azote (NO2) et le monoxyde d’azote (NO).
Les oxydes d'azote peuvent irriter les bronches voire entraîner des infections pulmonaires chez certaines personnes sensibles.
Les concentrations sont exprimées en microgramme par mètre cube d’air (µg/m3).
Les oxydes d'azote peuvent irriter les bronches voire entraîner des infections pulmonaires chez certaines personnes sensibles.
Niveau moyen régional des concentrations de dioxyde d’azote (NO2) : 6 µg/m3
La carte ci-contre représente la concentration annuelle modélisée pour le dioxyde d’azote.
Les oxydes d’azote représentent les formes oxydées de l’azote. Les principaux sont le dioxyde d’azote (NO2) et le monoxyde d’azote (NO).
Les oxydes d'azote peuvent irriter les bronches voire entraîner des infections pulmonaires chez certaines personnes sensibles.
Les concentrations sont exprimées en microgramme par mètre cube d’air (µg/m3).
Les oxydes d'azote peuvent irriter les bronches voire entraîner des infections pulmonaires chez certaines personnes sensibles.
Niveau moyen régional des concentrations de dioxyde d’azote (NO2) : 8 µg/m3
La carte ci-contre représente la concentration annuelle modélisée pour le dioxyde d’azote.
Les oxydes d’azote représentent les formes oxydées de l’azote. Les principaux sont le dioxyde d’azote (NO2) et le monoxyde d’azote (NO).
Les oxydes d'azote peuvent irriter les bronches voire entraîner des infections pulmonaires chez certaines personnes sensibles.
Les concentrations sont exprimées en microgramme par mètre cube d’air (µg/m3).
Les oxydes d'azote peuvent irriter les bronches voire entraîner des infections pulmonaires chez certaines personnes sensibles.
Niveau moyen régional des concentrations de dioxyde d’azote (NO2) : 8 µg/m3
La carte ci-contre représente la concentration annuelle modélisée pour le dioxyde d’azote.
Les oxydes d’azote représentent les formes oxydées de l’azote. Les principaux sont le dioxyde d’azote (NO2) et le monoxyde d’azote (NO).
Les oxydes d'azote peuvent irriter les bronches voire entraîner des infections pulmonaires chez certaines personnes sensibles.
Les concentrations sont exprimées en microgramme par mètre cube d’air (µg/m3).
Les oxydes d'azote peuvent irriter les bronches voire entraîner des infections pulmonaires chez certaines personnes sensibles.
Niveau moyen régional des concentrations de dioxyde d’azote (NO2) : 8 µg/m3
La modélisation des concentrations de dioxyde d’azote NO2 (7 µg/m3 en moyenne annuelle) met en avant l’influence du trafic automobile, des centres urbains, et dans une moindre mesure de certains sites industriels. Comparés à 2019, les niveaux sont moins élevés (-4 µg/m3 en moyenne). Les concentrations minimales en 2020 sont de 4 µg/m3. En 2020, la valeur limite fixée à 40 µg/m3 n’est dépassée que ponctuellement, autour des principaux axes routiers et est respectée sur le reste des Hauts-de-France.
En région, moins de 60 habitants y sont exposés pour une superficie totale de 2 km2 à des niveaux d’au maximum 54 µg /m3.
La modélisation des concentrations de dioxyde d’azote NO2 (11 µg/m3 en moyenne annuelle) met en avant l’influence du trafic automobile, les centres urbains, et dans une moindre mesure certains sites industriels. Les concentrations minimales sont inférieures à 5 µg/m3. En 2019, la valeur limite fixée à 40 µg/m3 n’est dépassée que ponctuellement, autour de principaux axes routiers et respectée sur l’ensemble de la région Hauts-de-France. En région, moins de 50 habitants y sont exposés pour une superficie totale de 5 km2 à des niveaux d’au maximum 54 µg /m3.
La modélisation des concentrations de dioxyde d’azote NO2 (11 µg/m3 en moyenne annuelle) met en avant l’influence du trafic automobile, les centres urbains, et dans une moindre mesure certains sites industriels.
Les concentrations minimales sont inférieures à 6 µg/m3 et disséminées dans les zones les plus rurales.
En 2018, la valeur limite fixée à 40 µg/m3 est dépassée ponctuellement, autour de principaux axes routiers.
Elle est respectée partout ailleurs sur la région Hauts-de-France.