La carte ci-contre représente les concentrations annuelles modélisées pour les particules PM2.5 (de taille inférieure à 2.5 micromètres).
Plus elles sont fines, plus elles pénètrent profondément dans les voies respiratoires voire jusqu’au système sanguin.
Les concentrations sont exprimées en microgramme par mètre cube d’air (µg/m3).
On distingue les particules primaires des particules secondaires :
Particules primaires : particules produites et directement émises.
Particules secondaires : particules issues de réactions physico-chimiques dans l’air à partir d’autres polluants.
Niveau moyen régional des concentrations de particules PM2.5 : 8 µg/m3
La carte ci-contre représente les concentrations annuelles modélisées pour les particules PM2.5 (de taille inférieure à 2.5 micromètres).
Plus elles sont fines, plus elles pénètrent profondément dans les voies respiratoires voire jusqu’au système sanguin.
Les concentrations sont exprimées en microgramme par mètre cube d’air (µg/m3).
On distingue les particules primaires des particules secondaires :
Particules primaires : particules produites et directement émises.
Particules secondaires : particules issues de réactions physico-chimiques dans l’air à partir d’autres polluants.
Niveau moyen régional des concentrations de particules PM2.5 : 10 µg/m3
La carte ci-contre représente les concentrations annuelles modélisées pour les particules PM2.5 (de taille inférieure à 2.5 micromètres).
Plus elles sont fines, plus elles pénètrent profondément dans les voies respiratoires voire jusqu’au système sanguin.
Les concentrations sont exprimées en microgramme par mètre cube d’air (µg/m3).
On distingue les particules primaires des particules secondaires :
Particules primaires : particules produites et directement émises.
Particules secondaires : particules issues de réactions physico-chimiques dans l’air à partir d’autres polluants.
Niveau moyen régional des concentrations de particules PM2.5 : 10 µg/m3
La carte ci-contre représente les concentrations annuelles modélisées pour les particules PM2.5 (de taille inférieure à 2.5 micromètres).
Plus elles sont fines, plus elles pénètrent profondément dans les voies respiratoires voire jusqu’au système sanguin.
Les concentrations sont exprimées en microgramme par mètre cube d’air (µg/m3).
On distingue les particules primaires des particules secondaires :
Particules primaires : particules produites et directement émises.
Particules secondaires : particules issues de réactions physico-chimiques dans l’air à partir d’autres polluants.
Niveau moyen régional des concentrations de particules PM2.5 : 10 µg/m3
En 2020, la modélisation des concentrations de particules PM2.5 en moyenne annuelle montre une problématique régionale (niveau moyen régional 9 µg/m3) malgré des disparités locales. Elle met en relief l’influence des centres urbains, de certains sites industriels, ainsi que du réseau routier structurant. La concentration minimale (en moyenne annuelle) modélisée en région est de 5 µg/m3 dans le département de l’Aisne. Les niveaux sont en moyenne inférieurs de 2 µg/m3 à ceux de 2019. Les niveaux moyens en région restent inférieurs à la valeur limite (VL) fixée à 25 µg/m3 à l’exception de quelques dépassements ponctuels observés (moins de 1 km2) en proximité industrielle et le long de certains tronçons routiers ; la population reste, quant à elle, non concernée par des concentrations supérieures à la VL.
En 2019, la modélisation des concentrations de particules PM2.5 en moyenne annuelle montre une problématique régionale (niveau moyen régional 10,6 µg/m3) malgré des disparités locales. Elle met en relief l’influence des sources locales les centres urbains, certains sites industriels, ainsi que le réseau routier structurant. La concentration minimale (en moyenne annuelle) modélisée en région est de 7,9 µg/m3 dans le département de l’Aisne. Les niveaux moyens en région (restent inférieurs à la valeur limite (VL) fixée à 25 µg/m3 à l’exception de quelques dépassements ponctuels observés (moins de 1 km2) en proximité industrielle et le long de certains tronçons routiers ; la population reste, quant à elle, non concernée par des concentrations supérieures à la VL.
En 2018, la modélisation des concentrations de particules PM2.5 en moyenne annuelle montre un fort gradient nord-est/sud-ouest, avec quelques exceptions.
Cela reste une problématique régionale (niveau moyen régional 12 µg/m3) mais avec des disparités locales.
La modélisation fait notamment ressortir la métropole lilloise avec une moyenne sur l’agglomération de près de 16 µg/m3. Elle met en relief l’influence des sources locales les centres urbains, certains sites industriels, ainsi que le réseau routier structurant. La concentration minimale (en moyenne annuelle) modélisée en région est de 10 µg/m3 dans le département de Pas-de-Calais.
Les niveaux moyens en région (restent inférieurs à la valeur limite (VL) fixée à 25 µg/m3 à l’exception de quelques dépassements observés (6,6 km2) en proximité industrielle et le long de certains tronçons routiers.